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5 novembre 2012 1 05 /11 /novembre /2012 10:51

Voici le support du cours.

Utilisez-le comme une "boîte à outils", somme de pistes pour débrouiller des situations d'incommunication, analyser les verrouillages et élaborer des solutions alternatives...

Je suis à votre disposition pour tout complément d'information, publique ou individuelle.

 

Amusez vous bien!

 

CommGlobal6 CommGlobal6

 

Copie avec fonc blanc:  CommGlobal6FondBlanc CommGlobal6FondBlanc

 

P.S.:  Sun Tzu, l'Art de la Guerre:  L'art de la guerre L'art de la guerre

Machiavel  Le Prince Le Prince

Le Bon (Psychologie des foules)  LE BON PsyDesFoules LE BON PsyDesFoules

 

 

 

SUJET DU DOSSIER À RENDRE LE 17 JANVIER:  sujetBÉNAT 2013 sujetBÉNAT 2013

 

SUJET DU DOSSIER À RENDRE LE 15 JUIN:  sujetBÉNAT 2013 semestre2 sujetBÉNAT 2013 semestre2

  NB petit délai: les dossiers doivent me parvenir avant le LUNDI 17 JUIN,  16H!!!!!!!

 

 


En complément:

- un PowerPoint sur le "modèle de Reason  Facteurshumains Facteurshumains

- un schéma simple

ModèleDeReason


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29 octobre 2012 1 29 /10 /octobre /2012 18:21

Voici le support du cours.... à travailler sur écran -fond noir!- sauf si vous inversez les couleurs...

 

Considérez ce document comme une "boîte à outils": il est bon de savoir ce qu'elle contient, et de pouvoir y puiser, à la demande, quand le "Réel" résiste, l'étayage nécessaire...

 

Amusez-vous bien!

  CommGlobal6 CommGlobal6

 

 

PS. Pour information et à votre demande, voici des URL où trouver des logiciels de Gestion de Projet

- PC: http://www.commentcamarche.net/download/gestion-de-projet-101

- MAC: http://www.clubic.com/telecharger/mac/gestion-projet/    (+ logiciels de "mind mapping")

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6 octobre 2012 6 06 /10 /octobre /2012 12:20

 

« Pour de Vrai, pour de Faux » : éloge du Jeu

Jean-Pierre BÉNAT, enseignant, clinicien, père, grand-père

 

Les analystes, les thérapeutes usant de la boîte à outil linguistique de la Psychanalyse, sont souvent moqués par les tenants d'une pratique médicamenteuse (en un mot!) persuadés qu'une modification chimique d'un organe induit mécaniquement (cf. « l'animal-machine » de Descartes) une modification de la fonction et du comportement. Soit. Les faits parfois induisent ce choix, proscrivons les intégrismes.

 

Un des leitmotiv des tenants de la Psychanalyse est de « restaurer le Symbolique » ; cela revient à ce que le Sujet (parlant, évidemment...)

  • accepte son Imaginaire, même dans sa dimension monstrueuse, utopique, uchronique, immorale même

  • reconnaisse le Réel dans ce qu'il a de frustrant et de castrateur

  • sache jouer du Symbolique pour fantasmer un Réel plus souriant et faire le deuil de ce que le Réel abolit

Ce triptyque n'est efficace que si la personne SAIT la frontière entre ces mondes, et JOUE avec eux. Or, un enfant à qui l'on n'a pas raconté d'histoires, pas appris à jouer « pour de semblant », pas appris l'humour, le second degré, la théâtralité (l' « hypocrisie », disent les détracteurs) n'auront comme seuls axes leur Imaginaire et le Réel : cela conduit à deux situations extrême :

  • une intense frustration de constater que le Réel est fort éloigné de leur Imaginaire

  • une brutale réalisation de leur Imaginaire, dans une brève séquence où la distance désir-réalité est abolie, où enfin le Réel est coextensif à l'Imaginaire. C'est l'agression violente, le viol, l'assassinat, la libération des pulsions, la toute puissance enfin possible...

 

Le double assassinat d'Échirolles, tel qu'il est décrit par Jean-Yves Coquillat, le Procureur de la République de Grenoble (05-09-2012, nouvelobs.com), est un terrible exemple de l'absence de « fonction Symbolique » ; en voici quelques commentaires (en italique, le texte du Procureur).

 

« L'agression finale, qui a coûté la vie à Kevin et Sofiane, est intervenue à la suite d'une série de bagarres d'une grande banalité.

« banalité » : une bagarre peut-être « banale », au sens où elle est « symbolique », inscrite dans un code de convenance, qui sert à préciser le statuts des individus et des groupes, comme une « parade »  animale : dans ce cas, pas de violence « réelle », pas de ressentiment, pas d'escalade, le signe disparaît dès qu'il a été compris ; la « violence symbolique » est interdite dans les écoles, donc... les enfants ne connaissent que la « non-violence » et la « violence réelle », sans apprentissage de l'agression « pour de faux », mimée, jouée, celle qui s'arrête dès que l'enseignant sonne la fin de la récréation.

Quelle est son origine ? Il semble qu'il s'agisse d'un mauvais regard échangé plus tôt.

« mauvais regard » : interprété comme « réel », et non comme l'expression théâtralisée d'une posture (ponctuelle, publique, calquée sans doute sur des scénarios de films ou de feuilletons).

Ce qui est certain, c'est que la première bagarre intervient vendredi, vers 18 heures, devant le lycée Marie-Curie. Le petit frère de Kevin, Wilfrid, croise la route de deux jeunes, dont Sid Ahmed, le plus jeune des deux frères militaires (interpellé lundi avec sa mère et son frère aîné Mohamed, mis en examen ndlr). Wilfrid, qui pratique des sports de combat, a le dessus et blesse les deux autres.

« sports de combat » : la pratique des Arts Martiaux est fort justement ritualisée, encadrée et étayée par des gestes symboliques : déconnectés de leur garde fou symbolique -ce qui est proscrit par les Fédérations, et répétés mille fois aux pratiquants-, ils « blessent » dans le Réel.

Moins d'une heure plus tard, le frère aîné de Sid Ahmed, Mohamed, revient et s'en prend à Wilfrid.

« revient » : au lieu de signifier « l'incident est clos », « c'est une histoire de mômes, vous arrêtez tout ! » les proches en rajoutent et... inscrivent de plus en plus les actes dans le Réel.

Il le gaze.

Ce qui était un signe de Pouvoir s'ancre davantage dans le Réel...

Wilfrid prend la fuite et appelle son frère Kevin, qui le récupère un peu plus tard en voiture, et cherche celui qui l'a agressé.

À nouveau les proches sont incapables de clore l'incident, en rajoutent pour inscrire les faits dans une « histoire » Réelle.

Deux groupes d'une dizaine de personnes s'affrontent alors. Kevin gifle Mohamed et le contraint à présenter ses excuses à son petit frère.

« gifle » : le geste est une violence symbolique, moins « réelle » qu'un coup, et la « contrainte à présenter ses excuses » est traditionnellement, dans un groupe habitué aux usages symboliques, considéré comme la « fin de l'Histoire » (cf. les duels « au premier sang » remplacés par des excuses publiques) . Si le groupe méconnaît ces usages, cela rebondit comme une agression « Réelle »

Ce qu'il a vraisemblablement vécu comme une humiliation publique. Cette série d'altercations prendra fin avec les tragiques faits que l'on connaît, dans le parc Maurice-Thorez, vers 21 heures. »

« tragiques faits » : la mort, ultra violente, est la seule fin « Réelle » de l'Histoire, dans un éclaboussement pulsionnel : l'Imaginaire « devient » le Réel, pendant quelques minutes.

 

À aucun moment les comportements n'ont été qualifiés de « sketch », de « cinéma » par les adultes, au contraire !

À aucun moment, les participants n'ont pu penser leur comportement comme « joué », « théâtralisé », et donc se dire « stop » et prendre une nécessaire distance.

Sans doute ne leur a-t-on pas appris !

Dans ces situations, il importe -et cela commence quand un enfant fait un caprice devant les caisses d'un hypermarché- de DIRE qu'il s'agit d'un sketch, et que l'enfant DOIT et PEUT l'arrêter. Évidemment, l'adulte est fondé à dire... s'il n'abuse pas lui-même de ce genre de sketchs : énervement colérique devant un match de foot, devant un discours politique, devant un jeu télévisé, devant son/sa conjoint/e perçu par l'enfant comme une réaction « Réelle », « pour de Vrai ».

Peut-être nous faut-il en permanence « sous-titrer » nos agissements et ceux des enfants et des adolescents : le « métalangage » permet la distance entre ce qui est JOUÉ et ce qui est AUTHENTIQUEMENT RESSENTI. Cela peut s'appeler culture, littérature, art...

 

article en .pdf:   EchirollesTropRéel EchirollesTropRéel



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4 juillet 2012 3 04 /07 /juillet /2012 20:11

Voici le support du cours.... à méditer sans modération. Tout n'a pas été explicité, en cas de doutes, de critiques, de questionnements, n'hésitez pas à quérir des informations....

AnalyseSystemique2 AnalyseSystemique2

De larges compléments sont disponibles ici  CommGlobal6 CommGlobal6

ou là    ... IntelligenceS IntelligenceS

 

Amusez-vous bien!

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17 juin 2012 7 17 /06 /juin /2012 08:56

*"Excellentes élèves en classes primaires et en 6ème/5ème, parfaitement normées, issues de familles aisées, musiciennes ou danseuses, "cultivées", "petite filles rangées" "agréables et gentilles", "suivies" -disent les enseignants-... et qui, soudainement ou pas, se permettent des transgressions (bavardages, incivilités, insolences, refus des convenances, refus du travail) en 4ème". Si cette phase est courte, elles retrouvent leurs performances scolaires et sociales; si cela dure, le niveau baisse considérablement, avec un refus généralisé de l'Institution scolaire.......

 

Dans la vulgate journalistique et nos réflexes premiers, il est d'usage de tracer une frontière entre les élèves « agréables », maîtrisant des codes sociaux et scolaires, héritiers de milieux (C+) maîtrisant lesdits codes, et « les autres », enfermés dans les leurs.

Or une frange non négligeable de ces « gentils », élèves performants jusque là, développent -surtout les filles- des comportements incivils, voire insolents, avec une morgue certaine envers les enseignants.

Pour pointer ce phénomène, j'avais utilisé le qualificatif de « pintades », en en signalant le caractère ponctuel et fini.

 

Qu'en est-il cliniquement ?

 

I/ Rappel des enjeux du développement :

      etapes

La problématique constante est la contradiction entre deux exigences :

  • assurer la protection et le contrôle.... au risque d'instrumentaliser et de stériliser l'individu

  • assurer l'autonomie... au risque de trop donner libre cours aux émotions et à l'instantanéité.

 

Une des étapes majeures -qui concerne le Collège, et spécifiquement la classe de 4ème- est le seuil entre le « PRÉ-ADOLESCENT » et l' « ADOLESCENT »

  • pré-ado : comportement social plutôt « rangé »*, exploration des scénarios alternatifs assurée par l' « Imaginaire » : les fantasmes sont peu visibles, ils s'investissent parfois dans des lectures « complexes » -Harry Potter, le Seigneur des Anneaux, les sagas aux multiples personnages sont lus à 12-13 ans) ; le « Réel » pose peu de difficultés, il est « mimé » -quand les codes ont été transmis et sont partagés par les familles.

  • ado : le traitement imaginaire des désirs et fantasmes bascule sur le « Symbolique » : les comportements sont des  « personnages théâtralisés », les lectures sont plus sommaires -Twylight, simpliste dans sa narration, est lu par des lecteurs de 15 ans...-

II/ Étiologie de la Pintade (!)

 

À ce seuil délicat correspondent des situations diverses

  • Pathologie 1 : l'anorexie (et, peut-être -recherches en cours-, certaines formes de dyslexies/dyspraxies).

    Un contrôle excessif**, virant parfois à la fusion, « instrumentalise » l'adolescent(e) qui se confond avec le comportement imposé pendant les périodes de l'enfance et de la pré-adolescence, n'a pas la possibilité de développer son « Moi », et a comme seule aire de contrôle … sa seule nourriture.

  • Pathologie 2 : prise de risques majeurs, mythomanie, confusion Virtuel/Réel : le « Moi » naguère florissant dans l'Imaginaire s'investit brutalement dans du Symbolique (vêtement, look, refus des convenances, saleté ), voire, s'il n'est pas capable d'avoir assez la sensation d'exister, dans le Réel -prise de drogues, risques majeurs, etc...-

 

Évidemment ces situations restent marginales, mais les comportements vécus en classe de 4ème sont fondés sur les mêmes schèmes.

Ainsi, les fameuses « pintades » ont été convenablement « contrôlées », au point de n'avoir quasiment jamais expérimenté des comportements alternatifs : même leur Imaginaire ne s'autorisait pas ce genre de transgressions.

Or les personnages «imposés » par les familles (intelligemment efficientes) et les enseignants (valorisant ces comportements « agréables », qui « font plaisir »...) se craquellent d'autant plus fort que les fantasmes alternatifs (liés à la puberté, au désir de transgresser pour « éprouver ») n'ont pas eu la possibilité de s'expérimenter.

 

Dans les situations pathologiques, les parents s'exclament toujours, une fois leur enfant en danger : « Pourtant, avant nous n'avions jamais eu de problèmes avec lui/elle ! »

Les parents de nos « pintades » disent exactement la même chose, et n'arrivent pas à endiguer les « c'est bon » et autres « n'importe quoi » une fois le vernis fissuré.

 

 

 

III/ Solutions ?

 

Il ne s'agit pas ici de magiquement tout résoudre (!), mais, au moins de tâcher d'éviter les situations toxiques.

La piste essentielle, classique dans les thérapies nécessaires dans la pathologie, consiste à restaurer l'Imaginaire et le Symbolique : pour simplifier (ces deux feuillets très résumés occupent... 45 heures de cours!), on peut répéter les messages suivants :

  • « Vous avez le droit d'avoir n'importe quel (res)sentiment à l'endroit d'un adulte ! »

  • «  Vous avez le droit d'avoir n'importe quel jugement »

  • « Vous avez le droit d'imaginer n'importe quelle situation de vengeance, de violence, de fuite.... »

    MAIS

  • « Le code social a ses usages.... »

 

Bref, chacun a le souci des normes, tout en chérissant un « quant-à-Soi » structuré. Chaque fois que nous avons d'un élève une vision monolithique, nous l'enfermons, au risque de fissures, voire d'éclatement...

 

NB Compléments ici: adoleSCence... et là:  PRÉADOLESCENCE: l'étape gommée...

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2 juin 2012 6 02 /06 /juin /2012 11:09

Salut à toutes et à tous!

j'espère que vous avez passé une bonne nuit après avoir écouté, assimilé, travaillé avec courage et énergie, mettant en oeuvre une bonne partie de la palette "intelligenceS"... tout en souriant quand il fallait "changer de stratégie".

J'ai apprécié votre écoute, votre collaboration et la bien plaisante connivence entre gens de bonne compagnie qui aiment l'exigence...

 

Voici le support de la conférence.: une version sur fond noir, comme la présentation d'origine -mais... sans les animations -disponibles sur demande pour les utilisateurs de Mac et de KeyNote- et, pour ceux/celles qui voudraient imprimer, une version sur fond blanc, un peu dégradée vu les simplifications....

Je suis à votre disposition pour tout complément d'information.

IntelligenceS IntelligenceS

IntelligenceSinv IntelligenceSinv

Synapse%20synthese

 

 

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28 mai 2012 1 28 /05 /mai /2012 19:13

POSTURE COMPULSIVE CLIVANTE

(contribution au débat)

 

 

Nombre d'observateurs ont pointé un fonctionnement récurrent de l'ancien Président de la République, dont les étapes se déroulent ainsi :

  • émotion devant un fait divers (qui, comme le souligne Bourdieu, « fait diversion ») lié au seul « Pathos »

  • construction d'images induisant de l'émotion, avec un story telling  habile, articulé à la fois sur la proximité de la victime (le « micro-trottoir » repose sur le présupposé que « ce pourrait être moi », et la foultitude des émissions donnant à tout un chacun la possibilité de « s'exprimer » en toute décomplexion étaye ce fantasme) et la distance au bourreau, nimbé d'une inquiétante étrangeté (c'est l' « Autre », différent, obéissant à des motivations de plus en plus obscures)

  • identification de cet « Autre » comme "ennemi", appliqué à saper « notre » Monde, « nos » Valeurs : « ces gens là » sont une menace grandissante

  • repliement sur Soi et ses "semblables", élaboration d'une frontière défensive, éthique, intellectuelle, idéologique, politique, tout un appareil clivant qui valorise le dedans et conspue le dehors

  • sommation à « choisir son camp », hypertrophie de l'appel à l'Action au détriment de la Pensée, de l'Analyse (critique des « experts » qui « n'agissent pas »), de l'Intelligence (« Abajo l'intelligencia, viva la Muerte », « À bas l'intelligence, vive la Mort », hurlait en 36 le Général Astral à Unamuno, Recteur de l'Université de Salamanque...), suppression des « nuances », des phénomènes gaussiens, de toute approche scientifique

  • demande et accumulation de Lois qui fonderaient et légiféreraient cette frontière, rejetant l'Autre dans l'illégitimité, puis l'illégalité, puis dans un système pénal et/ou psychiatrique où l' « Autre » ne sera plus qu'un numéro, une forme anonyme juste codée par son appartenance à une « communauté », voire... un symptôme évidemment inné, congénital voire héréditaire (c'est là une ligne de partage -LA ligne de partage?- entre Droite et Gauche...)



Cette position correspond certes à une logique politique, mais c'est AUSSI un processus comportemental qui survient dès qu'une personne se sent désarmée devant la transgression et le froissement de « son » monde : deux voies s'ouvrent alors :

  • l'appel à l'Intelligence (pour faire bref : capacité à percevoir des liens, à créer des liens, à modifier le Réel ou à s'y modifier), à la Culture (perception des analogies de schèmes évolutifs), à l'Analyse (non confusion entre concomitance, corrélation et causalité, approche gaussienne des événements, étude systémique des interactions, hiérarchie des conclusions, doute!), ce qui implique d'abord la conscience que l'on est en manque de Savoirs, puis l'acquisition et la maîtrise de Savoirs, de Savoir-Faire et de Savoir-ÊTRE, associées à la critique et au Doute permanents.

  • Le non appel à l'Intelligence, au profit de la Pulsion « primaire » (vive les cerveaux reptilien & limbique, vive l'amygdale !...), qui fonctionne en funeste spirale (« je m'y suis abandonné, donc y renoncer maintenant me nie dans mon temps passé » … cf. Milgram et l'Expérience de Stanford University : si je commence à torturer, c'est très difficile de stopper!)

 

Je vous invite à pointer ce schème dans divers comportements : des enseignants accablés qui réagissent par la sanction et l'exclusion à l'effraction de leur si peu structuré et affirmé territoire, aux soignants conspuant à la fois le « public » et l'Institution, aux économistes etc..., tant que l'on refuse d'acquérir une « boîte à outils » efficiente, la mise au ban de l'Autre étaye sa propre homéostase (= refus de changer, enkystement dans ses pantoufles acquises...), prétend nier l'entropie et... précipite la chronique d'une Mort annoncée.

 

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24 mai 2012 4 24 /05 /mai /2012 18:01

Voici le support du cours, en ".pdf". À lire, relire, compulser, travailler, savoir (?) et surtout utiliser dès que la Communication achoppe, avant que les conflits ne dérivent en crises... CommGlobal6 CommGlobal6

 

Voici le sujet d'examen (semestre 2); amusez vous bien! "Pillez" le cours, il est là pour ça! ExamCommJPB2 ExamCommJPB2

 

 

 

 

 

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7 mai 2012 1 07 /05 /mai /2012 19:47

Jeu de mot un rien nigaud, mais, as usual, riche d'interprétations pas forcément niaises....

 

Voici comme prévu les supports utilisés le 7 mai:

 

- "AUTORITÉ - OBÉISSANCE" (p. 26 & 27, des outils pour repérer les "non!" inopérants....; p.28 et suivantes, une "check list" de mots clés, et le commentaire afférent: cela fait un peu bréviaire, mais... cela peut servir. AutoritéObéissance AutoritéObéissance

 

- "ADO MARS 2012": psychologie appliquée....  ADOmars2012 ADOmars2012

 

- "DYNAMIQUE DE GROUPE"   DynGroupe2 DynGroupe2

 

- COMMUNICATION GLOBALE (les esprits curieux pourront trouver quelque éclairage supplémentaire (formes d'intelligences, sémiologie, etc.....)     CommGlobal3 CommGlobal3

 

 

Je suis à votre disposition pour tout complément d'information, et aussi.... pour répondre aux objections et autres critiques comminatoires!

Vous fûtes un public plaisant... et les premiers rang ont  accepté de bon coeur de jouer les "cobayes": soyez en remerciés!

 

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11 avril 2012 3 11 /04 /avril /2012 23:07

Voici le support de la conférence du 12 avril...

SECRETSdeFAMILLE SECRETSdeFAMILLE

BIBLIOGRAPHIE (pour les acharné-e-s de la précision):


Abraham, N., et Torok, M., 1978, L'Écorce et le Noyau, Paris, Aubier-Flammarion.

Boszormeny-Nagy, I., et Spark, G.M., 1973, Invisibles Loyalties, New York, Harper and Row.

Brenot, J.-L., et Brenot, M., 1985, «L'organisation mentale d'enfants cryptophores », in Psychiatrie française, Paris.

Dumas, D., 1985, L'Ange et le Fantôme, Paris, Éd. de Minuit.

1989, Hantise et Clinique de l'autre, Paris, Aubier.

Eiguer, A., 1987, La Parenté fantasmatique, Paris, Dunod.

1991, «L'identification à l'objet transgénérationnel», Journal de psychanalyse de l'enfant, Paris, Centurion.

Fédida, P., et Guyotat, J., 1986, Généalogie et Transmission, Paris, Centurion.

Freud, S., 1969, «Pour introduire le narcissisme» (1914), La Vie sexuelle, Paris, PUF.

Granjon, E., 1987, «Traces sans mémoire et liens généalogiques dans la constitution du groupe familial», Dialogue, n° 98.

Kaes, R., 1993, Transmission de la vie psychique entre générations, Paris, Dunod.

Miller, A., 1990, Le Drame de l'enfant doué, Paris, PUF.

Nachin, CL, 1989, Le Deuil d'amour, Paris, Éditions universitaires.

1993, Les Fantômes de l'âme, Paris, L'Harmattan.

Nachin, CL, Tisseron, S., et Guillaumont, C, 1990, «Névroses de transfert, traumatismes et problèmes transgénérationnels», in Psychiatrie française.

Tisseron, S., 1992, Tintin et les Secrets de famille, Paris, Aubier (1™ éd. Seguier, 1990).

1993 a, «Secrets familiaux et création», in Journal des psychologues, n° 104, «Secret

d'enfance».

1993 b, La Honte. Psychanalyse d'un lien social, Paris, Dunod.

1993 c, Tintin et le Secret d'Hergé, Paris, Presses de la Cité.

 

 

Une longue citation de Tisseron, en guise de -brillante!- illustration:

 

Hergé, le créateur de Tintin, a ainsi organisé les aventures de ses héros (Tintin, Haddock, Tournesol, les Dupondt et la Castafiore) comme le récit crypté d'un secret familial indicible vécu par sa grand-mère paternelle. Celle-ci, simple servante à la fin du siècle dernier, s'était trouvée enceinte d'un personnage que la tradition familiale présentait comme prestigieux (et qui pourrait avoir été le roi des Belges lui-même, Leopold II, connu pour sa vie libertine et ses nombreux «bâtards»!). Elle avait accouché de jumeaux pris en charge par une mystérieuse comtesse à la condition que le secret de l'origine des enfants ne soit pas révélé ! Or, dans l'oeuvre d'Hergé, chacun des héros représente une génération de ce secret : la Castafiore incarne à la fois la grandmère énigmatique gardienne du secret du patronyme des jumeaux (elle parle sans arrêt pour ne rien dire et s'avère incapable de prononcer correctement le nom de « Haddock » !) et la mystérieuse comtesse aux manièresde grande dame. Les Dupondt incarnent les jumeaux aux prises avec la défaillance symbolique inscrite dans leur patronyme (leur père s'appelait-il « Dupont », « Dupond » ou « Dupondt » ?). Enfin, Tintin, Haddock et Tournesol incarnent trois attitudes possibles face à un secret en troisième génération : la curiosité et l'aptitude au déchiffrement des énigmes chez Tintin ; le désespoir, l'alcoolisme et la quête généalogique (à la recherche de son ancêtre le chevalier de Hadoque) chez le capitaine ; et l'hypertrophie de l'esprit scientifique, mais coupé du monde concret et quotidien, chez Tournesol (la recherche scientifique est en effet le seul domaine dans lequel la quête de la vérité soit non seulement un droit, mais un devoir).

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11 avril 2012 3 11 /04 /avril /2012 13:34

Chers collègues,

veuillez trouver ci-joint le support de la conférence du 11 avril.

Si vous voulez des documents plus "pointus", n'hésitez pas à demander...

 

Vous fûtes un public plaisant...

AutoritéObéissance AutoritéObéissance

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29 mars 2012 4 29 /03 /mars /2012 17:49

Bonjour!

comme vous possédez à merveille les connaissances "canoniques" sur les stades qui scandent l'évolution de l'enfant, j'ai privilégié des problématiques "connexes":

- le seuil délicat entre  le CLIVAGE (stade oral) et l'AMBIVALENCE (stade anal)

- la difficulté à "gérer" (!) un mécanisme où règne l'AMBIVALENCE si on est soi-même dans le CLIVAGE

- l'analyse des projections adultes et de SES PROPRES FRONTIÈRES....

 

Tous les commentaires sont les bienvenus...

PROPRETE2 PROPRETE2

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26 mars 2012 1 26 /03 /mars /2012 21:46

Accueil plaisant, public chaleureux, auditeurs du premier rang acceptant avec bonhomie d'être cobayes, beignets succulents: le rêve du conférencier...

À votre disposition pour tout complément d'informations.....

ADOmars2012 ADOmars2012

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23 mars 2012 5 23 /03 /mars /2012 09:22

 

ÉVALUATION GLOBALE = TOXICITÉ ?

« Je suis la plaie et le couteau » (Baudelaire, L' héautontimorouménos)

 


Dans les conseils de classe, l'usage actuel est de ne pas décerner « Félicitations », « Encouragements » et autres « Compliments » (sic!) à un élève brillant, dès lors qu'il manifeste un comportement répréhensible (par rapport au Règlement Intérieur et/ou à l'Éthique) ou gênant (pour l'enseignant et la classe).

Cette confusion entre les Performatifs intellectuels et sociaux est pathogène, surtout pour des adolescents au narcissisme flou.

Imaginons qu'un esprit pervers (un... Pervers Narcissique, par exemple!) veuille « démolir » un adulte (en général pour affirmer sa supériorité, le P.N. étant lui même très peu étayé par un narcissisme archaïque défaillant et perturbé) : la méthode est simple, constante dans la clinique : SUPPRIMER LES FRONTIÈRES ENTRE LES SPHÈRES AFFECTIVES (image de Soi, sentiments, humeur et ressentis...),PERFORMATIVES (capacité -ou non- de faire, d'accomplir une tâche) et INSTITUTIONNELLES (statut social, familial, professionnel, administratif, normé).

La grande majorité des dépressions procède de cette confusion : l'individu, agressé dans une des sphères (critiques / humeur / désamour / désaveu sociétal), est GLOBALEMENT détruit, sans pouvoir compenser les blessures d'un secteur par l'exaltation ou au moins la préservation d'un autre.

La survie consiste, est c'est le fondement des thérapies, non pas à supprimer les blessures (elles sont quasi inévitables...), mais à permettre que se construise un « Moi » fort, structuré, chéri, à la fois refuge et ressourcement.

Les adultes sont censés avoir un tel Moi structuré, condition nécessaire pour se prêter au théâtre social, à ses compromis et... à ses vexations (ses narcissisations aussi, mais les gratifications sont plutôt rares...).

Bon nombre d'enseignants subissent de plein fouet cette masse de « vexations » (blessures narcissiques), au point d'être souvent en dépression chronique (masquée ou non, cf l'étude ICI :link ).

Or le système pérennise sans nuance ce qui produit sa propre douleur et participe de son inefficacité.

Un adolescent a encore moins de chance de résister : doté d'un « MOI » flou, encore insubstantiel, écartelé entre des demandes contradictoires (parents, amis, enseignants, imagos sociales...) il explore des théâtralisations variées.

À terme, il privilégie (stratégie inconsciente) celle qui lui apporte le plus de gratifications ; le système scolaire est donc en compétition avec d'autres phares/fards : s'il ne gratifie rien, s'il ne présente aucun pôle identificatoire (la Culture ? Des cours brillants ? Une atmosphère de vivacité, de vitalité ? Des connivences subtiles ? Cela n'est opérationnel qu'avec « les Héritiers » -cf. Bourdieu- , ce qu'on nommait naguère les « classes CAMIF », et encore...), il ne peut rivaliser avec les très efficaces sirènes des médias, des « meutes », des « petits caïds » et des «gadgets technologiques ».

Les « comportements » sont variables, nous mêmes avons en mémoire des errements passés qui, à l'époque, disjoints des évaluations performatives, ne les ont pas empêchées...

L'élève de 2012 est confronté à une évaluation globale, qui a tendance à se donner comme « atemporelle » : sa palette d'expérimentations s'en trouve considérablement réduite, d'où ce sentiment de déréliction (en théologie, sentiment d'être abandonné par Dieu...), de déshérence de plus en plus fréquent.

Imaginez que nous soyons « évalués » à la SEULE aune de notre efficacité pédagogique, de notre capacité à faire progresser les élèves, à les « élever » de leur soupe culturelle, et que soient occultées d'autres facettes de notre personnalité … Sinistre, non ?

L'Institution scolaire française peut certes , seule contre tous, continuer ces « évaluations globalisantes » -dont une des fonctions est sans doute d'être « contra-phobique » pour les enseignants, puissants le temps d'un Conseil de classe... piètre consolation de l'amertume pédagogique et sociétale-, au risque d'être pour les adolescents un simple monde artificiel, opaque et énigmatique, au bénéfice de leur monde à eux, de leurs bandes, des modèles proposés par les médias, avec tout le séduisant clinquant dont ils se parent.

À bon entendeur...

JPB

 

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9 mars 2012 5 09 /03 /mars /2012 13:26

Contribution au débat (si débat il y a, les positions s'enkystant dans de navrants anathèmes -la rage et l'amertume ont aussi droit de cité-...)



Dans la clinique (du Grec klinw, se pencher au dessus...), nous sommes confrontés, tout le temps, à des discours elliptiques, biaisés, à des silences, à des murailles, à de sophistiqués écrans.

La question de l'étiologie est certes fondamentale... à condition d'entendre que le système de « causalité » linéaire (Aristote, Descartes, Spinoza, et surtout le « Liber de Causis ») est UN schème causal, qu'il en est d'autres (suivez mon regard du côté de l'Analyse systémique, de la Physique quantique , de la Biologie et... de la Mécanique!) plus complexes, avec des systèmes d'inter-actions de plus en plus complexes au fur et à mesure que l'observation est précise.



Je ne développerai donc pas ici pour l'instant la résurgence du vieux débat « organe vs pensée », les mots de la polémique me semblent impliquer des enjeux autres qu'épistémologiques ou thérapeutiques.



Dans la clinique donc, toute personne oeuvrant avec des patients aux signifiants énigmatiques SAIT qu'il faut décrypter.

La culture cartésienne, certes nécessaire et utile, est peu outillée pour comprendre un discours elliptique, flou, biaisé : la volonté de simplification érode le sens jusqu'à une « simplicité » fonctionnelle... utile pour ÉCHANGER DES INFORMATIONS, pas pour COMMUNIQUER des émois.



Les psychanalystes, très majoritairement, disposent de la boîte à outils nécessaires ; je ne parle pas ici de l'analyse du transfert, des étayages divers, mais, spécifiquement, de l'habitude de décrypter. Sans doute les linguistes, les ethnologues, habitués à « entendre » le discours symbolique et polysémique, en font autant.



Exercice que je me permets de soumettre aux tenants des thérapies comportementalistes (utiles, répété-je, pour enseigner un « échange d'informations »!) pour s'entraîner au travail des analystes : lire les textes qui suivent, discerner le deuxième, troisième, nième degré, écouter encore : quand un autiste dit / ne dit pas / profère / suggère / dénie, l'exercice est analogue... BON COURAGE !





« La terre est bleue comme une orange
Jamais une erreur les mots ne mentent pas
Ils ne vous donnent plus à chanter
Au tour des baisers de s’entendre
Les fous et les amours
Elle sa bouche d’alliance
Tous les secrets tous les sourires
Et quels vêtements d’indulgence
À la croire toute nue.

Les guêpes fleurissent vert
L’aube se passe autour du cou
Un collier de fenêtres
Des ailes couvrent les feuilles
Tu as toutes les joies solaires
Tout le soleil sur la terre
Sur les chemins de ta beauté.

ÉLUARD



Ei) pa/nta ta\ o)/nta kapno\j ge/noito, r(i=nej a)\n diagnoi=en

Si tout devenait de la fumée, les narines connaîtraient

HÉRACLITE

 

La lune s’attristait. Des séraphins en pleurs 
Rêvant, l’archet aux doigts, dans le calme des fleurs 
Vaporeuses, tiraient de mourantes violes 
De blancs sanglots glissant sur l’azur des corolles. 
C’était le jour béni de ton premier baiser. 
Ma songerie aimant à me martyriser 
S’enivrait savamment du parfum de tristesse 
Que même sans regret et sans déboire laisse 
La cueillaison d’un Rêve au cœur qui l’a cueilli. 
J’errais donc, l’œil rivé sur le pavé vieilli 
Quand avec du soleil aux cheveux, dans la rue 
Et dans le soir, tu m’es en riant apparue 
Et j’ai cru voir la fée au chapeau de clarté 
Qui jadis sur mes beaux sommeils d’enfant gâté 
Passait, laissant toujours de ses mains mal fermées 
Neiger de blancs bouquets d’étoiles parfumées.

MALLARMÉ

 

 

Je n’écoute plus rien, et pour jamais, adieu.

Pour jamais ! Ah ! Seigneur, songez-vous en vous-même

Combien ce mot cruel est affreux quand on aime ?

Dans un mois, dans un an, comment souffrirons-nous,

Seigneur, que tant de mers me séparent de vous ?

Que le jour recommence, et que le jour finisse,

Sans que jamais Titus puisse voir Bérénice,

Sans que de tout le jour je puisse voir Titus ?

Mais quelle est mon erreur, et que de soins perdus !

L’ingrat, de mon départ consolé par avance,

Daignera-t-il compter les jours de mon absence ?

Ces jours si longs pour moi lui sembleront trop courts.

RACINE (Bérénice, IV, 5)

 



Mais tandis que, une heure après son réveil, il donnait des indications au coiffeur pour que sa brosse ne se dérangeât pas en wagon, il repensa à son rêve; il revit, comme il les avait sentis tout près de lui, le teint pâle d’Odette, les joues trop maigres, les traits tirés, les yeux battus, tout ce que – au cours des tendresses successives qui avaient fait de son durable amour pour Odette un long oubli de l’image première qu’il avait reçue d’elle – il avait cessé de remarquer depuis les premiers temps de leur liaison, dans lesquels sans doute, pendant qu’il dormait, sa mémoire en avait été chercher la sensation exacte. Et avec cette muflerie intermittente qui reparaissait chez lui dès qu’il n’était plus malheureux et qui baissait du même coup le niveau de sa moralité, il s’écria en lui-même : «  Dire que j’ai gâché des années de ma vie, que j’ai voulu mourir, que j’ai eu mon plus grand amour, pour une femme qui ne me plaisait pas, qui n’était pas mon genre ! »

Marcel PROUST, Un amour de Swann (Fine)

 

etc...

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6 mars 2012 2 06 /03 /mars /2012 19:27

EuropeMoreau

Salut à vous!

Voici le support de la conférence.

EUROPE EUROPE

Usez et abusez de cette "boîte à outils", elle peut sans doute -ô doux espoir!- combattre une bête Vulgate qui se nourrit de ses propres aboiements...

 

Pour les aficionados de la pensée cartésienne, le texte "LIber de causis"... Le livre des causesJUXTA Le livre des causesJUXTA

 

À votre disposition pour tout complément d'information...

 

pieter-bruegel-the-elder-the-tower-of-babel-1

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27 février 2012 1 27 /02 /février /2012 22:48

Chers vous,

voici le support du cours, à considérer et à utiliser comme un boîte à outils: vous retrouverez ce qui a été expliqué, plus d'autres thématiques peut-être un jour utiles....

CommGlobal4 CommGlobal4

Je suis à votre disposition pour éclairer votre lanterne, si vous êtes trop submergés d'ombres diverses...

 

 

P.S. Veuillez, je vous prie, m'envoyer votre dossier avant le 16 mars minuit, sous la forme “NOMprénom.pdf”, à l'adresse taneb@mac.com.


Sujet: Dans votre entreprise, vous avez jadis noté des dysfonctionnements (usure, bloquage institutionnel, inhibitions, conflits, rivalités, rumeurs, harcèlements, etc...). Il vous est demandé d'analyser a posteriori une situation “réelle”, avec -ô joie!- la boîte à outils abordée en cours (nosologie / étiologie / thérapie), et de proposer une ou plusieurs remédiations.

Je suis à votre disposition pour tout complément d'informations et de précisions, pour affiner au mieux votre étude.

Amusez-vous bien!

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8 février 2012 3 08 /02 /février /2012 21:02

Support de cours...

Petite boîte à outils pour comprendre ce qui inhibe et ce qui favorise “la créativité”.

Il ne s'agit pas là d'une approche “managériale” (“comment libérer la créativité d'un groupe, d'une entreprise, d'un technicien... d'un responsable politique?”), mais de l'analyse des liens subtils que le petit enfant tresse -ou pas- avec sa Mère, avec le Monde, avec ses représentations symboliques, ce qui va induire son triple rapport de Soi à Soi, de Soi à Autrui et de Soi au Monde...



Le présent document est donc évidemment dédié à Winnicott, à Anzieu, aux premières lignes de la Genèse et... à Rimbaud!

Créativité Créativité

PS. Dans un élan de bonté, j'ai "inversé" les couleurs (via "Graphic Converter" en version gratuite.... Attention, le fichier est très "lourd"...donc... mieux vaut "l'inverser" chez vous.....)

CréativitéInverse CréativitéInverse

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29 janvier 2012 7 29 /01 /janvier /2012 11:27

Veuillez trouver ici le support du cours  TroublesAttachement TroublesAttachement

et un document de synthèse pertinent: TROUBLESattachement TROUBLESattachement

 

Si vous souhaitez d'autres études, contactez moi directement...

Cordial salut

 

NB. Réponse à celle qui se plaignait non sans virulence de ne pouvoir "inverser" le document pour l'imprimer: TOUT est lisible! (le blanc devient noir, et réciproquement...); point n'est besoin d'être une pointure en Informatique ni de modifier le document (!!!! désintox!!!), il suffit d'ouvrir le document par exemple avec Graphic Converter (ou tout autre logiciel lisant des images... celui ci est gratuit) dans une bonne définition, et d'INVERSER LES COULEURS"... Il reste en ".pdf", mais imprimables car sur fond blanc. Facile!

 

PS. Quelques images pour situer "l'amygdale", organe central qui réagit de plein fouet aux "troubles de l'attachement"....

 

amygdale01

 

amygdale2

 

cerveau

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21 janvier 2012 6 21 /01 /janvier /2012 11:09

Bonjour à toutes et tous,

Voici le support de la conférence du 20-01; mirez le (!) sur écran, mais si d'aventure vous voulez l'imprimer, INVERSEZ LES COULEURS avant, sinon je devrais me faire sponsorer par les vendeurs d'encre noire.... DynGroupe2 DynGroupe2

 

Voici  aussi les images que nous avions en partie analysées...si vous voulez aiguiser votre perception des "positions"....

DynGrTD DynGrTD

Vous futes un auditoire tonique et réactif, ce qui est toujours fort plaisant à l'orateur...

 

Je suis à votre disposition pour tout complément d'information (bibliographie, etc...)

 

psychedelique2

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1 janvier 2012 7 01 /01 /janvier /2012 11:31

voeux

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11 décembre 2011 7 11 /12 /décembre /2011 19:17

Salut à vous!

voici -en ".pdf" le support du cours sur "LES FRATRIES".

FRATRIES FRATRIES

 

La "littérature" est abondante mais... peu spécifique. Si vous voulez la compulser, demandez moi directement, en précisant le registre de votre demande.

Ici, vous trouverez plutôt une "boîte à outils cliniques": ce qu'il vaut mieux ne pas oublier dès qu'un comportement vous semble énigmatique....

 

Bonne réflexion.

 

PS: à consulter sur écran... Si vous voulez imprimer, INVERSEZ les couleurs, le fond noir va enrichir votre fournisseur d'encre...

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2 décembre 2011 5 02 /12 /décembre /2011 21:50

Bonjour à toutes et tous!

voici le support de la conférence; si vous l'imprimez, inversez les couleurs: le fond noir ferait la fortune de votre fournisseur d'encre!

 

Bonne réflexion!

 

PetiteEnfance2 PetiteEnfance2

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16 novembre 2011 3 16 /11 /novembre /2011 19:12

Voici le support, en ".pdf", de la conférence sur les problématiques de l'ADOLESCENCE; à consulter de préférence sur écran -le fond noir, imprimé, fera la fortune des vendeurs de cartouches (d'encre, pas de 44). Que ceux/celles qui préfèrent le papier prennent la précaution d'INVERSER les couleurs avant d'imprimer.

ADOLESCENCEnov2011 ADOLESCENCEnov2011

Bonnes réflexions! 

Les commentaires, questionnements et critiques sont les bienvenus.

 

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13 novembre 2011 7 13 /11 /novembre /2011 17:56

Support  ".pdf" de la conférence du 14 novembre. 

PèreSéparateur PèreSéparateur

À consulter sur écran: si vous l'imprimez, le document va joyeusement épuiser votre réserve d'encre noire ("ancre": ce peut être prétexte à la lever...), sauf si, rusé(e), vous inversez auparavant les couleurs... salutaire prétexte aussi à changer de drapeau.

 

Plus sérieusement (!), ledit texte présente la toxicité de la pourtant nécessaire dyade "Mère-Enfant", si elle n'est pas contrariée par les actions d'un "Père séparateur"...

 

 

BONNES RÉFLEXIONS.

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