Chères vous
voici le -long -125p- support du cours (14h) sur les « VIOLENCES INTRA-FAMILIALES » , dans son intégralité. Libre à vous de le consulter en avance pour affiner vos commentaires et questions: j’ai pour l’heure été ravi de la qualité et la pertinence de vos interventions.
Le propos est de comprendre les mécanismes de la Violence, puis d'analyser ses émergences dans le cadre familial: la promiscuité, la tentation de l'INCESTE FOCAL, la prégnance des modélisation sont des facteurs aggravants pour que les pulsions s'expriment directement, sans la médiation du langage... Et c'est cette même acquisition du langage et plus globalement du "symbolique" qui permet d'éroder ladite violence...
PS Suite à vos réflexions sur certaines pathologies ou comportements (« dys », TDAH), je réitère ma suggestion de ne pas « essentialiser »: le risque est d’assigner à une personne cette affection, de le « sommer » en quelque sorte d’être « malade »; ainsi, à une « victime », il est préférable de dire « vous n’êtes pas une victime, vous êtes VOUS et vous avez rencontré un prédateur » , à un cancéreux « vous n’êtes pas un cancéreux, vous êtes VOUS et vous avez croisé une pathologie » , à un « dys » « vous n’êtes pas dys, vous êtes VOUS et vous avez croisé un modèle de pensée étranger à vous » etc…
Cette problématique fait rage dans les milieux universitaires et médiatiques, les tenants de « lNTERSECTIONNALITÉ » ayant parfois tendance à « essentialiser » des caractéristiques (ex : « mâle blanc quinquagénaires bourgeois », « personne racisée » ... Le sujet fait débat, professionnellemtn j’ai tendance à mettre en avant la personne et les schèmes anthropologiques (constants) mais… vous êtes évidemment en droit (!) d’avoir une approche plus sociologique.
—> Vos idées m’intéressent!