Il serait légitime de penser que les Fêtes religieuses sont sourcées et étayées par un corpus de textes conséquent, habitués que nous sommes à évaluer l'importance d'un propos, voire sa véracité, à l'aune de sa "surface rédactionnelle" (ah, les jeux de miroirs -aux alouettes!- des chaînes d'informations en continu et des réseaux sociaux...): pour ce qui est de l'Ascension, point nodal de la foi chrétienne, il n'en est rien: la chose est peu dite, et dite en peu de mots... ce qui ne la rend ni anodine ni épiphénoménale...!
À méditer, au double plan de la religiosité et... du statut des signifiants...