Le présent articulet est la réponse à une légère (?) exaspération devant les procrastinations des étudiants qui attendent l'extrême limite avant d'oeuvrer, les Institutions avant d'agir et... les patients avant de consulter, alors que les troubles somatiques et psychiques sont déjà très avancés, déjà insupportables...
Il est donc un rien polémique, et dans ses excès tend une perche aux critiques diverses et variées. N'attendez donc pas (hi hi hi!), et commentez à votre guise.
Bonnes réflexions!
PS. Une première approche moins "analytique" et plus "comportementaliste" (les deux approches sont COMPLÉMENTAIRES!) était visible ici: http://www.taneb.org/article-24411743.html
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